Dans cette communication la réflexion est limitée aux nouvelles technologies de concentration ou enrichissement des minerais.les techniques traditionnelles de concentration des minerais ont des domaines dimensionnels d’application bien définis.sa granulométrie, ses propriétés physiques et chimiques, etc…
Le problème ne se pose pas les matières de dimensions au-dessus des limites supérieures des techniques traditionnelles parce qu’on les réduit pour adapter la granulométrie en effet avec l’épuisement des gisements des minerais riches et le recours aux minerais moins riches de plus en plus complexes cela a généré des quantités énormes des matières fines dont la granulométrie est incompatible avec les techniques traditionnelles et des rejets de concentration par ces techniques non épuisés en éléments valorisables.les exemples de pertes d’éléments de valeur dans les fines dans le monde et en RDC ,qui sont relevés dans la communication montrent l’intérêt de l’utilisation de nouvelles technologies qui ont été heureusement mises sur pied pour surmonter les problèmes majeurs posés par les fines.ces technologies sont :flottation modifiée, flottation des flocs, flottation par porteur, méthodes gravimétriques centrifugesrie. C’est pour les matières de dimensions en-dessous des limites inférieures que le problème s’est très tôt posé.
La pénétration de ces nouvelles technologies est à l’heure actuelle insignifiante. Pour un pays qui fonde son développement sur le secteur minier, l’introduction des nouvelles technologies den concentration des minerais est pertinente, les opportunités existent et les possibilités d’impacts socio-économiques sont évidentes.la communication tente de le montrer.